Dans le cadre de l’opération « Shoot The Impossible », Nikon a lancé un défi à 8 photographes pour tester les capacités du nouveau Nikon Z 6. Pour les Bestjobers, le challenge consistait à tester la bague d’adaptation pour utiliser le zoom et capturer le maximum de détails en photographie animalière. Découvrez leur retour d’expérience.
« Après le Nikon Z 7 au Kenya il y a quelques mois, Nikon nous a demandé de prendre cette fois-ci en main le nouveau boitier hybride plein format Z 6, mais pas seulement ! Nous devions shooter l’impossible. Pour nous, notre voyage au Japon, au cœur de l’hiver sur l’île d’Hokkaido, à la quête de la faune sauvage, collait parfaitement à ce défi ! »
Le timing est primordial
« Nous l’avons tout d’abord testé dans des conditions glaciales, à -15°C, durant une sortie en canoë sur la rivière Kushiro. Nous étions à l’affût des animaux qui éventuellement se laisseraient surprendre sur les berges gelées. La chance fut avec nous. Après un pygargue empereur et un troupeau de daims Sika, nous apercevons un tanuki (chien viverrin, à la croisée d’un renard et d’un raton laveur). Il a fallu être rapide et à main levée, Max a capté des instants furtifs, avant qu’ils ne disparaissent chacun à leur tour, dans les bois. Nous avons pu compter sur la stabilisation du capteur, très appréciable dans ces conditions où forcément l’usage d’un trépied est impossible ! »
Une mise au point en toute liberté
« Si nous sommes partis au Japon en plein hiver, c’était aussi pour aller observer et photographier les grues du Japon, un animal emblématique dans l’archipel nippon. C’est dans un sanctuaire sur l’île d’Hokkaido qu’on en voit le plus, toute l’année. Mais c’est selon nous l’hiver la période la plus photogénique, alors qu’elles se confondent avec le blanc immaculé de la neige. Ces oiseaux gigantesques dansent devant l’objectif, au sol et en plein vol, offrant aux plus chanceux et patients, un véritable ballet. Autant dire que nous devions être prêts à capter chaque instant pour shooter l’impossible ! Avec notre Z 6, Max a enclenché le mode rafale permettant de shooter jusqu’à 12 images / secondes , un mode très pratique et efficace pour s’assurer de ne rien manquer du spectacle ! Nous sommes restés des heures à les regarder danser avec grâce dans la neige. Max a beaucoup apprécié la prise en main du boitier, sa légèreté, bien agréable dans ce genre de shooting à la durée indéterminée. Alors que la fin d’après midi fini par arriver, la luminosité commençait à faire défaut à l’orée du bois, mais la qualité d’images du Z 6 en basse lumière était impeccable. En tout cas ce ne fut pas évident de ne choisir qu’une seule photo mais celle choisie évoque bien l’idée qu’on avait en tête, le ballet. »
« Enfin, on a terminé notre voyage dans la campagne de Nagano, pour partir à la rencontre des macaques japonais, ceux qui aiment se baigner dans les sources thermales chaudes durant les jours froids de l’hiver ! Cela faisait plusieurs années que nous rêvions de les photographier. »
« Une image insolite mais loin d’être facile à réaliser ! Les singes bougent beaucoup, ils sont sauvages et leur comportement est imprévisible. La vapeur émanant des bains chauds rendait également la mise au point compliquée. Une situation parfaite pour tester l’autofocus du Z6 que l’on a trouvé précis et réactif. Avec de la patience pour attendre LE moment, et grâce au Z 6, Max a pu figer de jolis instants. Impossible de choisir entre ce gros mâle qui avec sa démarche chaloupée donnait une impression de marcher sur l’eau avec celui qui profitait tranquillement de la chaleur du bain ou encore ce petit en boule en pleine séance de méditation ! Un aperçu de la diversité des scènes que l’on peut observer en allant à la rencontre. En tout cas la netteté est là, défi relevé ! »
Découvrez les autres défis réalisés dans le cadre de l’opération « Shoot the Impossible » en cliquant ici.
je suis aussi photographe toutes les photos son bonnes
Magnifique